Type : Sloop bermudien
Gréement : 1 mât ; grand-voile bermudienne ; 1 génois ou un foc ; pas de bout-dehors ; spi au portant. La grand-voile porte, comme signes d'identification, un D surmontant l'indicatif du pays où le bateau est enregistré et un numéro.
Matériaux : bois ou polyester (des exemplaires en bois sont encore construits aujourd'hui)
Premier exemplaire : 1929 à Goteborg ; plan de Johan Anker.
Premier exemplaire : 1929 à Goteborg ; plan de Johan Anker.
Longueur hors-tout : 8,9 m
Longueur de la coque : 8,9 m
Longueur à la flottaison : 5,7 m
Largeur maximale : 1,95 m
Tirant d'eau maximal : 1,2 m ; quillard uniquement.
Tirant d'air : 11 m
Déplacement : 1670 kg mini dont 1000 kg de lest en fonte.
Surface maxi de voilure : 26 m² au près ; 23,6 m² pour le plus grand spi utilisé
Coque : blanche
Avant : étrave très élancée
Arrière : voûte très élancée, petit tableau.
Superstructures : bateau ponté ; cockpit non autovideur ; pas de cabine , mais un abri pour le matériel
3 équipiers en régate (maxi 4 personnes)
Le dragon est une série mythique conçu par l'architecte norvégien Johann Anker et produit à plus de 3000 exemplaires. Ce bateau mythique, construit encore à plusieurs dizaines d'exemplaires par an dans le Monde, 85 ans après sa sortie, a une silhouette de petit voilier de classe JI. Le cockpit, profond, n'est pas autovideur et l'équipage doit prendre garde à ne pas embarquer une vague par grosse mer ; les naufrages de dragons ne sont pas rares, même sur les lacs, où ce type de bateau est bien représenté. Ce sont cependant des voiliers qui tiennent bien la mer et le vent jusqu'à une limite élevée (30 nœuds de vent environ) s'ils sont bien menés ; l'hiloire protège le cockpit jusqu'à un degré de gite important.
Avant : étrave très élancée
3 équipiers en régate (maxi 4 personnes)
Le dragon est une série mythique conçu par l'architecte norvégien Johann Anker et produit à plus de 3000 exemplaires. Ce bateau mythique, construit encore à plusieurs dizaines d'exemplaires par an dans le Monde, 85 ans après sa sortie, a une silhouette de petit voilier de classe JI. Le cockpit, profond, n'est pas autovideur et l'équipage doit prendre garde à ne pas embarquer une vague par grosse mer ; les naufrages de dragons ne sont pas rares, même sur les lacs, où ce type de bateau est bien représenté. Ce sont cependant des voiliers qui tiennent bien la mer et le vent jusqu'à une limite élevée (30 nœuds de vent environ) s'ils sont bien menés ; l'hiloire protège le cockpit jusqu'à un degré de gite important.
De petite taille mais de construction très soignée, c'est souvent un bateau considéré comme réservé aux régatiers aisés, apprécié autrefois de l'aristocratie (on l'a parfois appelé le voilier des rois). Les propriétaires soignent leur unité comme des bijoux, de la même façon que ceux des yachts de luxe.
Une version récente, avec grand-voile à corne, est appariue récemment et appelée Dilong.
Les réglages doivent être très précis et le nombre de bouts est impressionnant : plus de 30 ; on est loin de la drisse et des 2 écoutes par voile du voilier moyen !
Les vitesses réalisées ne sont pas si impressionnantes que cela, mais ce qui importe est de régater à armes rigoureusement égales. La monotypie est très rigoureuse, le carbone et le kevlar sont interdits.
En France, la flotte de dragons est importante, et les régates rassemblent un grand nombre d'unités, notamment à Douarnenez (trophée Guyader, ancien Petit Navire), à Cannes, à Saint-Tropez, etc. Les déplacements routiers sont relativement faciles grâce à des remorques adaptées.
Le dragon a été série olympique de 1948 à 1972.
Une version récente, avec grand-voile à corne, est appariue récemment et appelée Dilong.
Les réglages doivent être très précis et le nombre de bouts est impressionnant : plus de 30 ; on est loin de la drisse et des 2 écoutes par voile du voilier moyen !
Les vitesses réalisées ne sont pas si impressionnantes que cela, mais ce qui importe est de régater à armes rigoureusement égales. La monotypie est très rigoureuse, le carbone et le kevlar sont interdits.
En France, la flotte de dragons est importante, et les régates rassemblent un grand nombre d'unités, notamment à Douarnenez (trophée Guyader, ancien Petit Navire), à Cannes, à Saint-Tropez, etc. Les déplacements routiers sont relativement faciles grâce à des remorques adaptées.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire